Bonjour à tous et bienvenue. Je suis Carole Geoffroy, sophrologue certifiée formée à l’académie de sophrologie de Paris.
Mon parcours dans ses grandes lignes :
2018-2020 Formations spécifiques : accompagner la maladie avec la sophrologie, bien vieillir avec la sophrologie, entrée en cycle supérieur de sophrologie (travail sur les vibrations sonores, l’énergie cellulaire)
2018 Formation au degré 1 de REIKI
2019 Certification professionnelle de sophrologie enregistrée au RNCP – Académie de Sophrologie de Paris
2013 Formation de Musicienne Intervenante dans les Milieux de la Santé et du Handicap – Musique et Santé – Paris
2010 Formation aux arts de la scène (chant/danse/théâtre) – Institut Supérieur des Arts de la Scène – Paris
2006 Licence de Lettres Modernes – La Sorbonne Paris IV
Ces étapes reflètent mes centres d’intérêt et témoignent de mon cheminement. J’écris et compose mes premières chansons toute jeune, fascinée déjà par la question de l’Être et de l’infini des possibilités qui s’offre à lui. J’écris durant toute mon adolescence et en fait, je n’ai jamais arrêté ! Ce goût pour l’écriture me conduit à des études littéraires que je poursuis jusqu’à la Licence avant de me former aux arts de la scène.
Je deviens chanteuse interprète professionnelle en 2010. Au fil des prestations et notamment d’expériences d’animation musicale en maisons de retraite se fait sentir l’envie d’accompagner des personnes touchées par la solitude ou « empêchées » ; l’envie d’adoucir leur vie, de communiquer au présent grâce à la musique. Je me forme alors pour intervenir dans les milieux de la santé et du handicap. Ce nouvel angle de mon métier m’enchante. Je me sens à ma place dans ce rôle de soutien, dans cette posture d’écoute, d’attention et d’adaptation pour que l’autre se sente bien, ou se sente, tout simplement. À ma place dans cet échange respectueux, non intrusif, simplement et intensément humain, un peu en dehors du temps.
Je me dis alors qu’il est temps d’aller vers le développement personnel qui m’a toujours appelée. Accompagner, animer les cœurs : la musique est un médiateur privilégié. Aider à aller vers un mieux-être, offrir de l’autonomie, des outils de libération, de nouveaux réflexes de douceur envers soi qui resteront, qui accompagneront : je trouve en la sophrologie un médiateur parfait, tout aussi naturel et évident pour moi que l’est la musique.
Si c’est la sophrologie que j’ai choisie parmi de nombreuses méthodes, c’est qu’elle m’a séduite sur papier avec sa dimension existentielle être au plus proche de sa vérité, de ses désirs, s’accomplir et surtout, qu’elle m’a convaincue dès les premières séances ! Une rencontre coup de foudre ! Elle m’accompagne de bien des manières depuis, au quotidien, notamment dans mes activités de chanteuse et de sophrologue : le corps, la présence, l’énergie, la détente, la confiance, le courage, la mobilisation, la création, les questionnements…
Ce parcours est mon chemin d’humain, fait d’évidences, d’ajustements. Il est vivant et multiple ; je suis sophrologue, mais aussi chanteuse, voyageuse… L’équilibre d’une vie me paraît être tout un art et il se à joue chaque instant. Se sentir à sa place n’a pas de prix, c’est la chose la plus précieuse, mais c’est aussi, et c’est bien là toute la définition de l’équilibre, la chose la plus mouvante.
J’accueille dans mon cabinet situé dans le 15e des personnes désireuses de faire un chemin en séances individuelles ainsi que des petits groupes. J’anime un atelier hebdomadairement en EHPAD. Je propose régulièrement des séjours thématiques alliant sophrologie à d’autres « curiosités » comme la sylvothérapie, le REIKI.. Pour en savoir plus, rendez-vous à l’onglet Accompagnements et n’hésitez pas à vous abonner à ma page Facebook pour être tenus informés.
Membre de la chambre syndicale de sophrologie, j’adhère au code de déontologie qui engage le praticien au respect et à la dignité de la personne. Je suis tenue à la confidentialité et ne compte aucunement me substituer aux professionnels de santé. La sophrologie peut accompagner un traitement médical, en aucun cas elle ne peut s’y substituer.